Contrairement aux diffuseurs traditionnels de films, d’émissions de télévision et de musique, les diffuseurs en ligne n’ont aucune obligation légale d’investir dans le contenu canadien et, dans les faits, ils investissent peu dans le contenu canadien, et surtout dans le contenu de langue française.

  • Par exemple, l’Association des réalisateurs et des réalisatrices du Québec estime que seuls 0,3% des 2,5 milliards investis depuis 2017 au Canada par Netflix l’ont été pour des productions en langue originale française.